De l'utilité d'une éducation "à la dure"

Publié le par lap1.blanc

Récemment, mon père me racontait comment il a été élevé, comment, lorsqu'un prof lui "tirait les pattes", il se gardait bien de dire à son père qu'il avait été puni, car il s'en serait pris une. A l'époque, on la faisait comme ça, l'éducation. Un prof pouvait punir physiquement ses élèves, et au retour à la maison, les parents pouvaient en faire de même. C'était il n'y a pas si longtemps, en fait, 40 ans.

Mais en 40 ans, bien des choses ont changé. Aujourd'hui, les profs ne peuvent plus toucher un élève, et ils peuvent à peine jouer du sarcasme sur un élève turbulent.

Oui, mais du côté des parents? Si on critique souvent, avec facilité, les parents "désengagés", on oublie souvent les parents "à l'ancienne". Enfin, je dis à l'ancienne, mais la situation que je vais évoquer n'a rien à voir avec l'éducation donnée par mon grand-père.

Il n'est pas rare de rencontrer quelques "éléments turbulents" dont les parents, ou, plus souvent, le parent, utilisent la "manière forte", "à l'ancienne", "à la dure"... Oui mais voila, face à ça, l'enseignant ne peut pas calquer le même comportement, la même éducation. Il se retrouve donc incapable de communiquer avec l'élément turbulent, celui-ci connaissant bien pire. Inutiles les heures de colles, les cris, les menaces.

Mh.  La "bonne" éducation se trouve donc entre les deux. Mais où?

Wait & see...

Publié dans Vie sociale

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